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mercredi, 26 février 2014

Les Coups de coeur de Véronique

 2 romans à l'Ecole des loisirs collection Médium

9782211209830,0-1848078.jpgLe Passage du Diable d'Anne Fine
Il y a du diabolique là-dessous... Vous pouvez faire confiance à Anne Fine, elle sait agencer son récit, créer l'ambiance, distiller l'angoisse ; la tension monte au fil des pages que l'on avale avec délice. Et une fois refermé, le livre vous laisse comme un goût de "Jane Eyre", "Rebecca", "Les Hauts de Hurlevent"..., alors foncez (re)lire ces classiques de la littérature anglaise, le Passage du Diable vous a entr'ouvert la porte !


 

9782211204637,0-1794780.jpgLa double vie de Cassiel Roadnight de Jenny Valentine
Endosser l'identité d'un adolescent disparu depuis deux ans pour enfin ne plus être seul au monde... Chap sait que c'est grave et qu'il risque gros s'il est découvert. Mais à ce point !

Cette histoire vous tient en haleine jusqu'aux dernières lignes. Vous êtes aux côtés de Chap, à un moment de sa vie. Vous savez depuis le début qu'il va arriver quelque chose de grave, mais quoi ? Et quand ? Vous avancez lentement, vous grappillez petit à petit des éléments de son passé, vous découvrez la famille dans laquelle il s'installe et entrevoyez la personnalité de Cassiel, l'adolescent disparu. Vous les comparez, qui est dans le vrai ? Suspens garanti, Jenny Valentine est une orfèvre en la matière !

Vous ne connaissez pas les autres livres de Jenny Valentine ? Lisez-les, ils sont tous excellents.

 

18:44 Publié dans - ROMANS | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 25 février 2014

Exposition au MIJ

Griffon

 C'est vraiment fini ? Ben oui.

La revue Griffon fut la continuation de Trousse Livres née en 1976 au sein du Centre Laïque de Lecture de de la Ligue Française de l'Enseignement et de l'Éducation Permanente. C'est la même équipe qui, en 1986, avait repris bénévolement la rédaction et la gestion de la revue, sous le nouveau nom de Griffon, quand la Ligue avait décidé d'abandonner la parution de Trousse Livres. Depuis cette date, un groupe évolutif de mordus de littérature pour la jeunesse nourrissait, cinq fois par an, la partie critique. Mais l'originalité de la revue tenait surtout aux "cartes blanches" proposées aux auteurs et illustrateurs qui font la littérature de jeunesse d'aujourd'hui. L'arrêt de publication fin 2013, avec le numéro 239 consacré à Florence Koenig, témoigne tristement de la fragile existence des revues indépendantes, de l’épuisement des bénévoles, de l'insuffisance des moyens. Non, ne soyons pas triste, aime à répéter Jacques Péllissard, directeur de publication, car "ce n'est pas le genre de la maison Griffon ; une revue nait, vit et meurt comme dans la vraie vie ; la mort peut être belle sans l'hallali des pourfendeurs."

Vraiment, vraiment fini ? Ben non, pas tout à fait.

L’association Les amis de Griffon Trousse Livres a pris des dispositions pour que les numéros anciens restent disponibles. On pourra donc compléter sa collection, à petit prix, dès maintenant et pour une période limitée, auprès du CRILJ qui vient de réceptionner le stock dans son centre de ressources.  ICI

mercredi, 19 février 2014

Librairie Comptines

comptines6.jpgPUISQUE DES POLITIQUES SE MÊLENT DE LITTÉRATURE JEUNESSE, QU'IL SOIT PERMIS À UNE LIBRAIRE DE SE MÊLER DE POLITIQUE !

L'édito d'Ariane Tapinos

 

dimanche, 16 février 2014

Billet d'humeur... vos contributions sont les bienvenues !

 jean_a_deux_mamans_ophelie_texier.jpgDes groupes se revendiquant du « printemps français », attachés à des valeurs morales d'un temps que l'on pensait ne plus revoir, se sont mis en marche pour recenser les livres indignes de se trouver dans nos bibliothèques. Ces personnes en viennent même à dénoncer les établissements dans lesquels « ces livres » sont à la disposition des lecteurs. Un blog relaie ces dénonciations et encourage leurs lecteurs à la délation.

 Ces albums, nous qui les avons choisis, nous qui les utilisons, nous qui les conseillons quotidiennement, nous connaissons leur qualité et les échanges qu'ils peuvent susciter.

Voilà pourquoi il nous faut rester vigilants, vigilantes et solidaires à la tournure que peut prendre le cours de cette « vilaine »histoire.

Merci donc aux auteurs, aux illustrateurs qui ont écrit ces livres

  • La princesse qui n'aimait pas les princes, d'Alice Brière-Haquet (Auteur) et Lionel Larchevêque (Illustrations)

  • Jean a deux mamans, d'Ophélie Texier

  • Mes deux papas, de Juliette Parachini-Deny et Marjorie Béal

  • Mademoiselle Zazie et la Robe de Max, de Thierry Lenain, Delphine Durand

  • Papa porte une robe, Piotr Barsony, Maya et Bumcello

On peut parier aujourd'hui que d'autres titres viendront enrichir cette liste. Thierry Lenain, l'auteur de Zazie, a réagi sur son BLOG avec beaucoup d'humour.

                                                 isabelle pour Entre les lignes

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vendredi, 14 février 2014

L'ABF, le SLF et le SNE et la Charte des auteurs et des illustrateurs prennent position

En réaction aux provocations de groupes de pression tentant de s'infiltrer dans les bibliothèques pour faire retirer certains titres jugés "toxiques", les bibliothécaires, libraires, éditeurs, auteurs et illustrateurs se font entendre.

Ces derniers jours, quelques sites web ont mené des appels au retrait de livres achetés par des bibliothèques municipales, dont la liste est également dressée. Les ouvrages incriminés sont ceux d’une bibliographie proposée par le syndicat SNUipp-FSU de 79 livres de jeunesse pour l’égalité et concernent essentiellement l’égalité femme-homme et l’homosexualité.

Nous, Association des Bibliothécaires de France, tenons à exprimer notre désaccord profond avec ces prises de positions partisanes et extrêmes. la suite

 

  Le Syndicat de la librairie française s'associe aux protestations contre les appels à retirer des bibliothèques publiques des ouvrages pour la jeunesse traitant de l'égalité entre les femmes et les hommes ou de l'homosexualité.

Les attaques contre les livres ne sont jamais anodines. Les livres sont le reflet des questions qui traversent la société et chaque individu. Chercher à évincer certains ouvrages des écoles ou des lieux de lecture publique, c'est retirer la confiance à tous ceux dont le métier est de sensibiliser les enfants sur ces sujets, qu'ils soient auteurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires ou enseignants. C'est également nier la nécessité de débattre de ces questions et c'est refuser de reconnaître la diversité croissante des choix de vie et la liberté qui s'y rattache. C'est à la fois dangereux et vain.

Les librairies ont elles-mêmes pour rôle de s'ouvrir à des opinions et à des publics différents à travers leur sélection de livres et les débats qu'elles organisent. Elles ne peuvent qu'être inquiètes de voir le livre devenir la cible de l'intolérance et elles réaffirment leur engagement en faveur de l'égalité et du respect des différences.

La littérature de jeunesse a été propulsée depuis quelques jours sur le devant de la scène. L’occasion (inespérée ?) de rappeler les fondamentaux d’une littérature inventive, riche, ouverte au monde et aux autres. Une littérature innovante, qui vit au rythme de ses lecteurs. Une littérature qui, grâce au talent et à la fantaisie de ses auteurs et illustrateurs, grâce à l’exigence de qualité de ses éditeurs, grâce à la finesse et à l’honnêteté de ses médiateurs peut aborder une large palette de sujets. Sujets historiques, sujets d’actualité, questions de société, sujets plébiscités ou sujets plus « tabous », car tous les thèmes méritent d’être abordés, toutes les questions peuvent être posées !

Les éditeurs prennent à cœur leur responsabilité dans le choix du texte. C’est leur mission première, l’essence même de leur métier. Choix d’un texte juste, sensible, accessible, ouvert, qui invitera d’abord chaque lecteur à découvrir le plaisir de l’histoire racontée, et aidera le bébé, l’enfant, l’adolescent ou le jeune adulte à grandir, à se construire, à se connaître, à appréhender le monde qui l’entoure, à le comprendre pour s’y inscrire pleinement et volontairement. Les éditeurs de littérature de jeunesse croient profondément que l’enfant est apte à développer sa propre vision du monde à partir d’une histoire. Que l’enfant grandit en questionnant la vie. Que par le truchement du livre, il construit son jugement, apprend à raisonner.  Les mots de Bruno Bettelheim ne sauraient que confirmer ce leitmotiv de la littérature de jeunesse. « Pour qu’une histoire accroche vraiment l’attention de l’enfant, il faut qu’elle le divertisse et qu’elle éveille sa curiosité. Mais pour enrichir sa vie, il faut en outre qu’elle stimule son imagination, qu’elle l’aide à développer son intelligence et à voir clair dans ses émotions ; qu’elle soit accordée à ses angoisses et à ses aspirations ; qu’elle lui fasse prendre conscience de ses difficultés tout en lui suggérant des solutions aux problèmes qui le troublent1» .

L’édition jeunesse en France publie chaque année plus de 5 000 nouveautés, d’une qualité qui n’est plus à démontrer. Convoquant tour à tour l’humour, le sérieux, l’émotion, la littérature de jeunesse sait évoquer la vie avec sensibilité. Face à toute velléité ou volonté de censure (soulignons en outre que les publications jeunesse sont déjà soumises au contrôle d’une commission de surveillance instituée par la loi du 16 juillet 1949), il nous semble plus que jamais nécessaire de rappeler que les livres ne doivent pas devenir un instrument de manœuvre politique, ni être bannis des bibliothèques. Laissons-les avec confiance à leurs lecteurs, ils sont entre de bonnes mains !

Hélène Wadowski, Présidente du groupe Jeunesse du SNE

La littérature jeunesse s’est récemment retrouvée au cœur de polémiques inacceptables.
La Charte tient d’abord à exprimer sa colère de voir des auteurs, illustrateurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires, enseignants et blogueurs de littérature jeunesse mis injustement en cause dans différents faits d’actualité touchant aux questions des genres ou à l’égalité fille-garçon. Nous ne pouvons laisser ces appels à la censure et à la haine passer pour des opinions acceptables. Nous ne pouvons excuser l’ignorance de ceux qui portent ces attaques.
Nous tenons ensuite à apporter notre soutien à tous ceux qui ont fait l’objet d’accusations, d’intimidations ou d’agressions violentes, absurdes, inadmissibles. Les créations comme les créateurs sont pluriels. Les victimes de ces derniers jours défendent dans leurs pages : tolérance, différence, égalité et ouverture d’esprit. Et chaque lecteur, quel qu’il soit, se doit d’être libre de ses lectures.
De tous temps, les dictatures et les régimes les plus autoritaires ont commencé par s’attaquer aux livres, par les accuser, les expurger, puis les brûler. Le fait que des individus, anonymes ou responsables politiques, puissent s’engager sur ce chemin qui les éloigne de la démocratie ne peut être considéré comme anodin. Nous espérons de nos représentants politiques des réponses claires et un soutien ferme dans la tempête au cœur de laquelle notre profession a été malmenée depuis plusieurs semaines.
La Charte est engagée pour une littérature de qualité, ouverte à tous les imaginaires. Elle soutient tous ceux qu’une censure injustifiée prend à partie et se tient prête à se mobiliser.  La Charte

Une copie de ce communiqué a été adressée à Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture et de la Communication ; ainsi qu’à Najat Vallaud-Belkacem, Ministre des Droits des femmes, porte-parole du Gouvernement.

jeudi, 13 février 2014

Prix Entre les Bulles 2013

Le  Prix Entre les Bulles 2013 est attribué à

Kairos d'Ulysse Malassagne

Éditions Ankama

Rappel de la sélection finale ICI

et bientôt sur le blog la plaquette

une interview d'Ulysse Malassagne en décembre 2013 sur Planète BD

 

mardi, 11 février 2014

Tous à poil ! suite... tribunes de Sylvie Vassalo et Claude Ponti

Pour une fois que l'on parle d'un livre jeunesse, on peut regretter que ce soit dans ces conditions. Mais voici des personnes ici et là qui se lèvent, écrivent pour réagir et défendre la littérature jeunesse, il était temps !!!!

Tous-a-poil_cover1.jpgTribune dans Le Monde de Sylvie Vassalo,

Le sang de Jean-François Coppé n'aurait fait qu'un tour en découvrant l'album de Claire Franek  et Marc Daniau « Tous à Poil » où une série de personnages se déshabillent pour aller se baigner. Parmi eux figurent le chien, la maîtresse et le président directeur général, il y voit une incitation à braver les autorités. Rien de moins !

 Que doit-il penser de « l'immoralité » du Petit Poucet qui raconte comment des parents pauvres cherchent tout bonnement à se débarrasser de leurs enfants ; de Boucle d'or et les trois ours où une petite fille s'octroie le droit de squatter une maison qui n'est pas la sienne ; de Barbe bleue, conte particulièrement cruel sur la domination masculine ?

Ou de récits plus actuels : Max et les Maximonstres, histoire d'un petit garçon qui tient tête à sa maman ; Comment on fait les bébés qui opte pour un humour débridé sur la grande question de la vie ( eh oui il se raconte dans les livres que les bébés ne naissent ni dans les roses, ni dans les choux) ?

N'en plaise à Jean-François Copé, la littérature pour enfants n'est pas le lieu de l'apprentissage et de l'éducation, ni morale, ni sexuelle. La littérature raconte des histoires. La fiction permet aux enfants de se comprendre, d' apprendre l'autre, de se confronter aux peurs qui les taraudent, d' apporter des réponses aux multiples interrogations qui les traversent.

 UNE DISTANCE QUE LES ENFANTS COMPRENNENT PARFAITEMENT

 Bref la littérature les accompagne, les interpelle, les rassure, les ouvre à de grands sujets : la vie, les rapports à l'adulte, l'altérité, la mort, le monde… Il y a dans la littérature en général, donc dans la littérature de jeunesse, une distance que les enfants comprennent parfaitement. C'est pour « de faux », eux le savent bien. L'humour, la poésie, la loufoquerie sont souvent les vecteurs qui signalent cette distance.

 Les propos de Jean François Copé pourraient donc prêter à sourire : ce livre ne figure pas dans liste préconisée par l'éducation nationale et l'album en question est bien inoffensif : « la maîtresse en maillot de bain » n'est-elle pas une ritournelle de cours de récréation ?

 Il est troublant cependant que depuis quelques mois les attaques sur le contenu « pernicieux » de la littérature de jeunesse se multiplient. Il est inquiétant également que certains confondent plus ou moins délibérément les manuels scolaires qui servent à « faire la classe » comme le dit Jean François Copé et la littérature de jeunesse.

 Cette dernière, si elle a effectivement toute sa place à l'école, garde néanmoins au sein de l'institution scolaire un rôle essentiel : raconter des histoires, découvrir des contes, des fables. Elle possède à ce titre un statut particulier celui de multiplier les points de vue. 

 Loin de moi l'idée de prendre à la légère ce que l'on met dans les mains des enfants. Mais les auteurs, les illustrateurs, les éditeurs qui font la littérature de jeunesse, les bibliothécaires, les libraires, les enseignants, médiateurs qui la transmettent sont des professionnels attentifs, compétents et sérieux.

 Certes, il peut et il y a matière à discussion, dès lors que l'on s'attache à ouvrir le débat autrement que par des polémiques politiciennes et stériles.

 Le Salon du livre et de la presse jeunesse va fêter ses trente ans cette année et l'on s'honorera de  mettre en valeur tous les grands livres qui, comme les cours de récréation, bruissent d'impertinence.

Sylvie Vassallo (directrice du Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis) 11  février 2014

Tribune de Claude Ponti dans Libération

619382-ponti_blaise2.jpgTous à poil !

Chaque fois qu’une personne parle de ce qu’elle ne connaît pas, elle se ridiculise. Chaque fois qu’une personne politique parle de ce qu’elle ne connaît pas, elle se ridiculise et elle fait du mal, bêtement, à la politique, et sciemment à ce qu’elle vise.

Dire qu’un livre pour enfant est nul parce qu’il n’y a pas beaucoup de texte, c’est dire que la Joconde est sans intérêt puisqu’elle est sans texte, et que Mein Kampf («mon combat»), le livre de Hitler, est génial, puisqu’il est plein de mots et sans dessin. C’est être bête et se ridiculiser.

Critiquer un livre pour enfant sans le comprendre est bête. Oublier qu’un livre pour enfant est toujours acheté par un(e) adulte, en général de la famille directe de l’enfant, ou présenté par une personne libraire, enseignante ou bibliothécaire est bête, ces personnes adultes savent lire et comprendre. C’est donc insultant et méprisant de la part d’une personne politique qui pense parler à «ses» électrices et électeurs qu’il juge incapables.

Est-ce utile de parler de la qualité intellectuelle de la personne politique qui tiendrait de tels propos, de son intégrité morale, de sa loyauté, de son honnêteté ? Non. De parler de la franchise, de la loyauté, de l’honnêteté envers les enfants dans la littérature qu’on leur propose ? Oui. Ils y ont droit. Comme vous et moi, quel que soit leur âge.

Les enfants méritent le meilleur de nous. Pas l’à-peu-près, pas la manipulation ou l’utilisation, jamais l’ignorance, l’hypocrisie ou l’incompétence.

Claude Ponti, auteur de littérature jeunesse

Tribune d'Alain Serres pour Rue du monde

Protégeons nos enfants !

lundi, 10 février 2014

aux Éditions le Jardin des Mots

Le conteur et musicien africain Rémy Boussengui nous informe de la parution de ses deux nouveaux livres-CD aux Éditions Le Jardin des Mots :
Le CD permet de voyager avec la voix multicolore de ce conteur qui marie le récit à la musique grâce au chant et aux instruments traditionnels tel que l'arc musical.

www.conteur-africain.fr

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Tous à poils !

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Malgré lui, cet album fait l'objet d'une caricature et entraine donc une polémique. Comme toujours, sans aucun fondement, argument, ni recul. Entre Les Lignes vous propose une palette d'avis, une interview des auteurs et vous conseille à tous et toutes de le découvrir par vous-même.

                                                              Belle lecture !

Quelques avis   une interview

Prix LIBBYLIT 2011 - Album A Claire FRANCK et Marc DANIAU pour l'album " Tous à poil!" paru aux Editions du Rouergue

Le jury a souhaité récompenser ici l'audace des auteurs et le courage de la maison d'éditions car il s'agit ici avant tout d'un livre innovant proposé sans tabou et sans honte. Un livre de nu abordé sans pudeur. Le jury a aussi été interpellé par l'humour qui est omniprésent.  (extrait du dossier de presse du prix libbylit 2011)

Et ce matin le site Arrêt sur images reprend la nouvelle, c'est par ICI (contenu visible gratuitement seulement 24h).