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dimanche, 09 mars 2014

L'ABF répond à la gazette des communes

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Sur la question des rythmes scolaires, les bibliothèques se manifestent peu…

Il faut pourtant qu’elles se positionnent en amont, sans  attendre que les élus les sollicitent. D’autant que beaucoup de collectivités élaborent des contrats éducatifs locaux. La réforme des rythmes scolaires nous amène à nous interroger ce que nous pouvons proposer aux enfants, dans ce cadre-là, sur l’adéquation de nos horaires d’ouverture, etc. Nous avons, certes, des missions de base, que nous ne devons pas oublier, mais nous devons aussi nous ouvrir à d’autres champs. Je dis souvent : « On fait de tout en bibliothèque ! » Cette réforme est l’occasion de le prouver.

Qui plus est, valoriser ce que nous sommes susceptibles d’apporter peut aussi être une opportunité pour obtenir des moyens supplémentaires de nos élus. La question de notre contribution à la réforme des rythmes scolaires se pose au cas par cas, en fonction des moyens de chaque équipement et du contexte local. Il est certain que nous sommes tributaires de nos effectifs pour pouvoir ouvrir nos équipements et proposer des activités. A Anzin, par exemple, nous avons impérativement besoin de 4 personnes pour pouvoir ouvrir notre bibliothèque, dont la surface est de 1 700 m2.../...

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